Oui, mais uniquement pour des motifs valables : non-respect mutuel, état compromettant la sécurité, conflit d’intérêts ou comportement inapproprié du client. Le refus doit être expliqué avec respect et, si possible, accompagné d’une réorientation.
Un refus abusif serait contraire à l’éthique. Le thérapeute doit toujours veiller à agir dans l’intérêt supérieur du client tout en protégeant sa propre intégrité.